Wesley Dodds: The Sandman #4
Sympathique mais lent.
Robert Venditti avance tout doucement, en laissant de belles pages à Riley Rossmo quand Wesley est plongé dans ses terreurs, ses doutes, ses actes manqués et quelques visions du futur, à cause de son gaz. Il s'en remet deux jours après, remonte la piste et pense que l'ami de son père est impliqué. Ce dernier est cependant agressé par le voleur, Wesley le stoppe mais l'autre meurt en tombant, après avoir révélé que... les gaz sont déjà aux mains de l'armée.
C'est lent, oui. Robert Venditti va très, très doucement, ce qui n'est pas pleinement un défaut mais ralentit un récit classique et finalement peu entraînant. C'est sympathique, sans plus.
Graphiquement, Riley Rossmo assure et livre un travail très agréable. Une grosse réussite.
Des qualités mais une vraie lenteur.
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