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Posté par Fred le mallrat |
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Pour Aftershock (et ses deux titres en particulier) des avis? |
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American Monster, c'est du Azzarello pur jus avec des bons vieux ricains bien pourris comme on en a croisé des tonnes pendant le road-trip de John Constantine durant son run sur Hellblazer, ou évidemment pendant 100 Bullets.
Ici, un type brulé au dernier degré débarque dans une petite ville où on cache pas mal de secrets.
Juan Doe, c'est sûr que c'est pas Risso ou même Frusin mais ça tient la route. Un poil frustré par la fin qui n'en est pas vraiment une et appelle une suite.
Animosity, c'est mon petit plaisir du moment!
Marguerite Bennett pose les bases d'un nouvel univers post-apocalyptique. Mais ici, pas de virus zombie, de bombe nucléaire ni quoi que ce soit, simplement, tout à coup, la totalité des animaux de la Terre se retrouvent doués d'une intelligence comparable à celle des hommes et doués de la parole.
Beaucoup de choses changent très vite car si on compte environ 7 milliards d'humains sur notre planète, il y a aussi 20 milliards de milliards d'animaux, toutes espèces confondues (car oui, par exemple, même les crevettes discutent au fond de la mer maintenant!). Certains animaux se vengent de ce qu'on a fait subir à leurs pairs tandis que d'autres décident de cohabiter sous certaines conditions. Par exemple, il devient inconcevable de tuer des animaux désormais "égaux" à nous dans le but de les manger...
Aux dessins, un nouveau, Rafael Delatorre qui signe ici sa deuxième série (après SuperZero déjà chez AfterShock). C'est un dessin gentil, pas spectaculaire mais qui passe bien. A noter aussi un épisode spécial dessiné par Juan Doe qui revient sur les débuts du changement, lorsque les animaux ont évolué.
C'est ce titre, plus que American Monster encore, qui me donne envie de m'immerger un peu plus dans le catalogue AfterShock.
02/03/2017, 12h56
Mode hybride
